Occurences de l'expression

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pour MUSSET, Alfred de

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LE CHANDELIER (1890)

  1. De quoi servirait l'évidence ? (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
  2. À merveille. (Acte 1, scène 1, CLAVAROCHE)
  3. Fier et hardi ; fier de vous plaire, et hardi pour vous conserver. (Acte 1, scène 1, CLAVAROCHE)
  4. Quoique bien jeune, je mourrais de bon coeur pour vous rendre service. (Acte 1, scène 2, FORTUNIO)
  5. C'est un secret que j'ai à vous dire, et j'hésite par deux motifs : d'abord vous pouvez me trahir, et en second lieu, même en me servant, prendre de moi mauvaise opinion. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
  6. Oui, madame, pour vous servir. (Acte 1, scène 2, FORTUNIO)
  7. Moyennant quoi, tout s'arrange à merveille ; chacun y peut trouver son compte, et le mari, sûr de ses quittances, ne se connaît pas assez en chiffons pour deviner qu'il n'a pas payé tout ce qu'il voit sur l'épaule de sa femme. (Acte 1, scène 2, JACQUELINE)
  8. Dites à votre amie que je m'offre à elle ; je la servirai de mon mieux. (Acte 1, scène 2, FORTUNIO)
  9. Je vous en supplie, servez-vous de moi. (Acte 1, scène 2, FORTUNIO)
  10. Nous nous divertirons, et je me fais une vraie fête d'examiner cette comédie, d'en observer les ressorts et les gestes, et d'y jouer moi-même mon rôle. (Acte 2, scène 1, CLAVAROCHE)
  11. Et, comme acompte sur ses futurs services, ces beaux yeux pleins d'une flamme noire lui ont-ils déjà laissé deviner qu'il est permis de soupirer pour eux ? (Acte 2, scène 1, CLAVAROCHE)
  12. C'est bien le moins qu'on l'encourage pour le service qu'il nous rend. (Acte 2, scène 1, CLAVAROCHE)
  13. Mon amitié, digne maître_André, est tout entière à son service ; c'est une chose qui vous est acquise, et dont vous pouvez disposer. (Acte 2, scène 1, CLAVAROCHE)
  14. Voilà qui est à merveille. (Acte 2, scène 1, MAÎTRE ANDRÉ)
  15. Monsieur_Fortunio, servez donc à boire à Madame. (Acte 2, scène 3, CLAVAROCHE)
  16. Un regard de vos yeux a changé mon sort, et je ne vis que pour vous servir. (Acte 2, scène 4, FORTUNIO)
  17. Je n'ai pas l'honneur de ses confidences ; cela n'empêche pas qu'on ne rende un service. (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
  18. Ils veulent surprendre la belle Jacqueline et son très humble serviteur ? (Acte 3, scène 1, CLAVAROCHE)
  19. Cela est impossible, il est par là quelque part dans vos jupes ; vous l'avez oublié dans une armoire, et votre servante l'aura par mégarde accroché au porte-manteau. (Acte 3, scène 1, CLAVAROCHE)
  20. Guillaume est un garçon honnête, mais qui ne s'est jamais aperçu que son coeur lui servît à autre chose qu'à respirer. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
  21. Quel mal y eût-il eu alors qu'on se servît de lui à_son_insu pour détourner les soupçons d'un mari ? (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
  22. Tout se serait passé à merveille, et personne ne pourrait se plaindre le jour où la vérité viendrait. (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
  23. S'était-elle jamais retournée le soir, quand je l'observais dans le jardin ? (Acte 3, scène 2, FORTUNIO)
  24. Puis-je vous servir en quelque autre chose ? (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
  25. Sinon à vous suivre, à vous préserver, à écarter de vos pieds une épine ? (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
  26. Oui, si c'était pour vous rendre service, et je vous avoue que je le croyais. (Acte 3, scène 3, FORTUNIO)
  27. Pourquoi pour me rendre service ? (Acte 3, scène 3, JACQUELINE)

CARMOSINE (1852)

  1. Ne voyez-vous donc pas, depuis deux mois, que vos drogueries ne servent à rien ? (Acte 1, scène 1, DAME PÂQUE)
  2. Quelle est cette fleur merveilleuse ? (Acte 1, scène 8, CARMOSINE)
  3. [On ne m'avait point trompé ; Pierre conserve ici cette noble coutume que pratiquait naguère en France le saint roi Louis, de ne point celer la majesté royale, et de la montrer accessible à tous.] Je vais donc lui parler, et un mot de sa bouche peut tout changer dans mon existence. (Acte 2, scène 1, PERILLO)
  4. Mettre l'esprit d'un ange dans la cervelle d'un cuistre ! (Acte 2, scène 2, MINUCCIO)
  5. D'ordinaire, je ne me charge que de la musique, car je suis joueur de viole, monsieur, et de guitare, à votre service ; vous semblez nouveau à la cour, et vous aurez besoin de moi. (Acte 2, scène 2, MINUCCIO)
  6. Je viens tâcher d'obtenir du service dans l'armée qui marche sur Naples. (Acte 2, scène 2, PERILLO)
  7. En vérité, je joue depuis hier, en toute chose, d'un merveilleux guignon. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
  8. [Le roi, à qui elles appartiennent, se refusait à me les céder, se réservant, à ce qu'il prétendait, de m'en faire don le jour de mes noces. (Acte 2, scène 3, SER VESPASIANO)
  9. Ce malheureux royaume est-il donc si maudit du ciel, si ennemi de son repos, qu'il ne puisse conserver la paix au dedans, tandis que je fais la guerre au dehors ! (Acte 2, scène 5, LE ROI)
  10. Mais observez qu'il y a deux manières... (Acte 2, scène 6, SER VESPASIANO)
  11. Lequel vaut mieux, ou de jeunes filles sages, réservées et silencieuses, ou de petites écervelées qui crient et qui m'empêchent de finir ma lecture ? (Acte 2, scène 6, LE ROI)
  12. Permettez, Sire, que je ne m'en serve pas. (Acte 2, scène 6, MINUCCIO)
  13. Et ce jeune homme à qui son père l'avait promise, qui est allé étudier à Padoue, et qui comptait l'épouser au retour, Votre Majesté l'a vu ce matin même ; c'est lui qui est venu demander du service à l'armée de Naples ; celui-là mourra aussi, j'en réponds, et plus tôt qu'elle, car il se fera tuer. (Acte 2, scène 7, MINUCCIO)
  14. Mon bras et mon épée sont à votre service. (Acte 3, scène , SER VESPASIANO)
  15. Oui ; je l'écoute, je l'observe, et je crois que tout va pour le mieux. (Acte 3, scène 3, MINUCCIO)
  16. Voilà pourquoi je voudrais tâcher d'en préserver ma jeune amie. (Acte 3, scène 8, LA REINE)
  17. Imaginez que la soeur de ce prince, ou sa femme, si vous voulez, soit instruite de cet amour, qui est le secret de ma jeune amie, et que, loin de ressentir pour elle ni aversion ni jalousie, elle ait entrepris de la consoler, de la persuader, de lui servir d'appui, de l'arracher à sa retraite, pour lui donner une place auprès d'elle dans le palais même de son époux ; imaginez qu'elle trouve tout simple que cet époux victorieux, le plus vaillant chevalier de son royaume, ait inspiré un sentiment que tout le monde comprendra sans peine ; figurez-vous qu'elle n'a aucune défiance, aucune crainte de sa jeune rivale, non qu'elle fasse injure à sa beauté, mais parce qu'elle croit à son honneur ; supposez qu'elle veuille enfin que cette enfant, qui a osé aimer un si grand prince, ose l'avouer, afin que cet amour, tristement caché dans la solitude, s'épure en se montrant au grand jour, et s'ennoblisse par sa cause même. (Acte 3, scène 8, LA REINE)

BETTINE (1876)

  1. Avez-vous observé qu'elle m'a tutoyé ? (Acte 1, scène 5, LE NOTAIRE)
  2. À merveille, Monsieur, à merveille. (Acte 1, scène 8, CALABRE)
  3. C'est à merveille ! (Acte 1, scène 15, STEINBERG)
  4. Il paraît qu'il y a ici une inquisition dans les règles, et qu'on s'inquiète fort de mes intérêts ; mais il semble aussi que Monsieur_Calabre conserve plus discrètement ce que vous lui confiez qu'il ne sait respecter mes ordres. (Acte 1, scène 15, STEINBERG)
  5. Voilà qui est nouveau, voilà qui est merveilleux ! (Acte 1, scène 15, STEINBERG)
  6. Vous n'y parviendrez pas, je vous en avertis, car ce n'est pas vous qui parlez. (Acte 1, scène 15, BETTINE)
  7. Il ne m'aime plus assez pour accepter de moi un service ; mais, croyant qu'il vient d'elle, il n'osera refuser. (Acte 1, scène 16, BETTINE)
  8. Je connais des gens qui rendent service comme l'ours de la fable avec son pavé. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
  9. À la bonne heure, pourvu que vous me promettiez, une minute avant que je sois de trop, d'être assez de mes amis pour me mettre à la porte. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
  10. C'est très bien... parfaitement bien... c'est à merveille. (Acte 1, scène 18, BETTINE)

ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR (1834)

  1. Ma nièce est depuis hier, à sept heures de nuit, parvenue à l'âge de dix-huit ans ; elle sort du meilleur couvent de France. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  2. Mais observez donc, Dame_Pluche, que son cousin doit l'épouser, et que dès lors... (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  3. Les complimenteurs ne m'apprendront rien ; la froide nonne qui coupera mes cheveux pâlira peut-être de sa mutilation ; mais ils ne se changeront pas en bagues et en chaînes pour courir les boudoirs ; il n'en manquera pas un seul sur ma tête lorsque le fer y passera ; je ne veux qu'un coup de ciseau, et quand le prêtre qui me bénira me mettra au doigt l'anneau d'or de mon époux céleste, la mèche de cheveux que je lui donnerai pourra lui servir de manteau. (Acte 2, scène 5, CAMILLE)
  4. Ô digne seigneur_Bridaine, je suis votre serviteur ! (Acte 3, scène 2, MAÎTRE BLAZIUS)
  5. Et qui sait si, forcée à tromper par le monde, la tête de ce petit être sans cervelle ne peut pas y prendre plaisir et mentir quelquefois, par passe-temps, par folie, comme elle ment par nécessité ? (Acte 3, scène 6, CAMILLE)
  6. tu as voulu me lancer à tout prix quelque trait qui pût m'atteindre, et tu comptais pour rien que ta flèche empoisonnée traversât cette enfant, pourvu qu'elle me frappât derrière elle. (Acte 3, scène 6, CAMILLE)
  7. Tous les gens du village à qui j'ai parlé ce matin m'ont dit que vous aimiez votre cousine, et que vous ne m'avez fait la cour que pour vous divertir tous deux ; on se moque de moi quand je passe, et je ne pourrai plus trouver de mari dans le pays, après avoir servi de risée à tout le monde. (Acte 3, scène 7, ROSETTE)

L'ÂNE ET LE RUISSEAU (1858)

  1. Monsieur de Prévannes est un ami sûr, un homme de coeur, tout à fait capable de servir de guide, dans ses premiers pas, à une enfant qui, ne t'en déplaise... (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
  2. Lui, me servir de guide ! (Acte 1, scène 1, MARGUERITE)
  3. Tout s'unissait, s'accordait à merveille. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  4. Non pas pour moi, je n'ai pas de rancune, et je ne fais point de cas des colères conservées. (Acte 1, scène 4, PRÉVANNES)
  5. Mais je déteste la fausseté, la perfidie, tout l'arsenal des armes féminines ; je sais bien qu'on peut s'en servir utilement, mais cela me répugne; et c'est ce qui fait que, si je n'aimais pas votre cousine, je serais amoureux de vous. (Acte 1, scène 4, PRÉVANNES)
  6. Comment se porte Madame d'Orvilliers ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  7. Ne voulez vous pas que j'entreprenne de le guérir de son humeur noire et que je me fasse, de gaieté de coeur, la très humble servante d'un bourru malfaisant ? (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  8. Non, Monsieur de Prévannes, je ne veux pas me servir de vos espiègleries, je n'en ai ni le talent ni le goût. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  9. Elles vous réussissent à merveille !... (Acte 1, scène 13, LA COMTESSE)
  10. Puis il a marché à grands pas dans sa chambre : il a pensé à faire un voyage, puis, pour ne pas se déranger, à se brûler la cervelle. (Acte 1, scène 13, PRÉVANNES)
  11. Non seulement il m'a trahi; mais, pour le faire, il s'est servi de mon amitié même et de ma confiance. (Acte 1, scène 14, VALBRUN)
  12. Ce n'est pas sans peine que nous y sommes parvenus. (Acte 1, scène 14, PRÉVANNES)

LORENZACCIO (1834)

  1. Tout cela va et vient, il n'y a qu'à s'y connaître un peu ; je suis capable de nommer toutes les personnes d'importance on observe bien tous les costumes, et le soir on dit à l'atelier : J'ai une terrible envie de dormir, j'ai passé la nuit au bal chez le prince Aldobrandini, chez le comte Salviati, le prince était habillé de telle façon, la princesse de telle autre, et on ne ment pas. (Acte 1, scène 3, PREMIER ÉCOLIER)
  2. Que Dieu conserve Son Altesse ! (Acte 1, scène 3, LE MARCHAND DE SOIERIES)
  3. Si les regrets étaient permis à un fidèle serviteur de Dieu, j'envierais le sort de mon frère. (Acte 1, scène 3, LE CARDINAL)
  4. Que la débauche serve d'entremetteuse à l'esclavage, et secoue ses grelots sur les sanglots du peuple ? (Acte 1, scène 3, LA MARQUISE)
  5. Une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé ! (Acte 1, scène 4, LE DUC)
  6. Allons, Renzo, je veux te servir de témoin ; qu'on lui donne une épée ! (Acte 1, scène 4, LE DUC)
  7. Je n'ai rien à faire ; allons dîner, le dîner est servi. (Acte 2, scène 1, PIERRE)
  8. Pourquoi les prêtres voudraient-ils servir un Dieu jaloux ? (Acte 2, scène 2, VALORI)
  9. Je suis un desservant bien humble de la sainte religion de la peinture. (Acte 2, scène 2, TEBALDEO)
  10. Pourquoi remettre vos offres de service ? (Acte 2, scène 2, LORENZO)
  11. Les familles peuvent se désoler, les nations mourir de misère, cela échauffe la cervelle de monsieur. (Acte 2, scène 2, LORENZO)
  12. Si mes yeux ne me trompent pas, c'est dans cette maison qu'est le marteau dont je me servirai. (Acte 2, scène 3, LE CARDINAL)
  13. La capitulation n'est point observée. (Acte 2, scène 4, BINDO)
  14. Vous daignez visiter un pauvre serviteur en personne ? (Acte 2, scène 4, LORENZO)
  15. Tu es un écervelé ! (Acte 2, scène 5, PHILIPPE)
  16. Ouvre ta fenêtre et regarde un peu comme on traite tes serviteurs ! (Acte 2, scène 7, SALVIATI)
  17. Mais pour lui je ne me servirai pas d'une épée qui ait servi pour d'autres. (Acte 3, scène , LORENZO)
  18. À qui n'était-ce pas rendre service que de faire dire aux gens : il y a un Salviati de moins dans les rues ? (Acte 3, scène 2, PIERRE)
  19. Pour comprendre l'exaltation fiévreuse qui a enfanté en moi le Lorenzo qui te parle, il faudrait que mon cerveau et mes entrailles fussent à nu sous un scalpel. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  20. Je voulais arriver à l'homme, me prendre corps à corps avec la tyrannie vivante la tuer, porter mon épée sanglante sur la tribune, et laisser la fumée du sang d'Alexandre monter au nez des harangueurs, pour réchauffer leur cervelle ampoulées. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  21. Non, je ne rougis point ; les masques de plâtre n'ont point de rougeur au service de la honte. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  22. Ce coeur, jusques auquel une armée ne serait pas parvenue en un an, il est maintenant à nu sous ma main ; je n'ai qu'à laisser tomber mon stylet pour qu'il y entre. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  23. J'observais comme un amant observe sa fiancée, en attendant le jour des noces !... (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  24. Je sais parfaitement qu'il y en a de bons, mais à quoi servent-ils ? (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  25. Il y a de certains côtés par où tout devient bon : un chien est un ami fidèle ; on peut trouver en lui le meilleur des serviteurs, comme on peut voir aussi qu'il se roule sur les cadavres, et que la langue avec laquelle il lèche son maître sent la charogne d'une lieue. (Acte 3, scène 3, LORENZO)
  26. ce métier de servante, tu n'y es pas fait, pauvre coeur orgueilleux. (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
  27. Je me soucie de l'impôt ; pourvu qu'on le paye, que m'importe ? (Acte 3, scène 6, LE DUC)
  28. Les Huit n'ont pas le droit de condamner mes enfants et moi, je n'y survivrais pas. (Acte 3, scène 7, PHILIPPE)
  29. Voyons, Malaspina, je ne veux pas désespérer tout à fait de ma perversion. (Acte 4, scène 4, LA MARQUISE)
  30. Vous servez le pape, jusqu'à ce que l'empereur trouve que vous êtes meilleur valet que le pape lui-même. (Acte 4, scène 4, LA MARQUISE)
  31. J'allais corrompre Catherine ; je crois que je corromprais ma mère, si mon cerveau le prenait à tâche ; car Dieu sait quelle corde et quel arc les dieux ont tendus dans ma tête, et quelle force ont les flèches qui en partent ! (Acte 4, scène 5, LORENZO)
  32. Les jeunes gens à la mode ne se font-ils pas une gloire d'être vicieux, et les enfants qui sortent du collège ont-ils quelque chose de plus pressé que de se pervertira ? (Acte 4, scène 5, LORENZO)
  33. Pourvu qu'il n'ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles. (Acte 4, scène 9, LORENZO)
  34. On y a pourvu. (Acte 4, scène 9, LORENZO)
  35. Pourvu que les voisins n'aient rien entendu ! (Acte 4, scène 11, SCORONCONCOLO)
  36. Observez bien ce que je dis, faites attention à mes paroles. (Acte 5, scène 5, LE MARCHAND DE SOIERIES)
  37. On demande les boules ; les uns courent après les soldats, les autres après le vin qu'on distribue, et ils s'en remplissent la bouche et la cervelle, afin de perdre le peu de sens commun et de bonnes paroles qui pourraient leur rester. (Acte 5, scène 5, L'ORFÈVRE)

FANTASIO (1888)

  1. Que Dieu la conserve ! (Acte 1, scène 2, SPARK)
  2. Je l'ai dit, cher inconnu, je me suis servi de ce mot. (Acte 1, scène 2, HARTMAN)
  3. Ou je me trompe fort, ou quelque lubie mûrit dans sa cervelle. (Acte 1, scène 2, HARTMAN)
  4. mon cher ami, cette ville n'est rien auprès de ma cervelle. (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
  5. Tous les recoins m'en sont cent fois plus connus ; toutes les rues, tous les trous de mon imagination sont cent fois plus fatigués ; je m'y suis promené en cent fois plus de sens, dans cette cervelle délabrée, moi son seul habitant ! (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
  6. S'il y avait un enfer, comme je me brûlerais la cervelle pour aller voir tout ça ! (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
  7. Je n'en sais rien ; quelque belle fille toute ronde comme les femmes de Miéris ; quelque chose de doux comme le vent d'ouest, de pâle comme les rayons de la lune ; quelque chose de pensif comme ces petites servantes d'auberge des tableaux flamands qui donnent le coup de l'étrier à un voyageur à larges bottes, droit comme un piquet sur un grand cheval blanc. (Acte 1, scène 2, FANTASIO)
  8. Pour vous servir. (Acte 1, scène 2, LE TAILLEUR)
  9. Oui, mon ami (je t'ai accordé ce titre) ; l'important projet que je médite est inouï dans ma famille ; je prétends arriver à la cour du roi mon beau-père dans l'habillement d'un simple aide de camp ; ce n'est pas assez d'avoir envoyé un homme de ma maison recueillir les bruits sur la future princesse de Mantoue (et cet homme, Marinoni, c'est toi-même), je veux encore observer par mes yeux. (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
  10. Pénétrer dans cette cour nouvelle sans faste et sans bruit, observer tout, approcher de la princesse sous un faux nom, et peut-être m'en faire aimer ! (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
  11. N'as-tu ni bras ni jambes, et ne ferais-tu pas mieux de labourer la terre que ta propre cervelle ? (Acte 2, scène 1, ELSBETH)
  12. Mon déguisement me réussit à merveille ; j'observe, et je me fais aimer. (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
  13. Altesse, permettez à un fidèle serviteur de votre futur époux de vous offrir les félicitations sincères que son coeur humble et dévoué ne peut contenir en vous voyant. (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
  14. Je vous suis obligée ; rendez-moi le service de me laisser tranquille. (Acte 2, scène 2, ELSBETH)
  15. Dieu merci, voilà ma cervelle à l'aise, je puis faire toutes les balivernes possibles sans qu'on me dise rien pour m'en empêcher ; je suis un des animaux domestiques du roi de Bavière, et si je veux, tant que je garderai ma bosse et ma perruque, on me laissera vivre jusqu'à ma mort entre un épagneul et une pintade. (Acte 2, scène 3, FANTASIO)
  16. Je te confie le plus grand projet qui se soit enfanté depuis une suite d'années incalculable, et toi, mon meilleur ami, mon plus fidèle serviteur, tu entasses bêtises sur bêtises. (Acte 2, scène 4, LE PRINCE)
  17. Déjà je suis parvenu deux ou trois fois à lui dire à l'oreille des choses incroyables. (Acte 2, scène 4, LE PRINCE)
  18. Le gouverneur ou la gouvernante fait jouer le ressort, et vous voyez aussitôt les lèvres s'ouvrir avec le sourire le plus gracieux ; une charmante cascatelle de paroles mielleuses sort avec le plus doux murmure, et toutes les convenances_sociales, pareilles à des nymphes légères, se mettent aussitôt à dansoter sur la pointe du pied autour de la fontaine merveilleuse. (Acte 2, scène 5, FANTASIO)
  19. À quoi cela me servirait-il ? (Acte 2, scène 5, FANTASIO)

BARBERINE (1890)

  1. Si cela ne dépendait que de ma volonté, toute ma pauvre maison serait bien à votre service ; - mais vous n'ignorez pas que cette hôtellerie est sur la route d'Albe-Royale, l'auguste séjour de nos Rois, où, depuis un temps immémorial, on les couronne et on les enterre. (Acte 1, scène 1, L'HÔTELIER)
  2. Mais tu n'es pas non plus un Brutus, et tu n'as pas envie de tuer notre bon roi Mathias Corvin. (Acte 1, scène 3, BARBERINE)
  3. Je pense à me mettre au service du Roi, et à aller à la cour. (Acte 1, scène 3, ULRIC)
  4. C'est à merveille, et il n'en faut pas davantage. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  5. Si vous voulez d'abord plaire aux femmes, et c'est la première chose à faire, lorsqu'on veut faire quelque chose, observez avec elles le plus profond respect. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  6. C'est un ouvrage merveilleux, un recueil à la fois concis et détaillé de toutes les historiettes d'amour, ruses, combats et expédients propres à former un jeune homme et à le pousser près des dames. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  7. - Non, messieurs, je viens pour prendre du service. (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
  8. Nous croyons devoir intervenir ; songez que vous êtes chez la Reine. (Acte 2, scène 1, PREMIER COURTISAN)
  9. C'est surtout ce livre que j'ai acheté qui me bouleverse la cervelle ; si je l'ouvre le soir en me couchant, je ne saurais dormir de toute la nuit. (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
  10. Tout ce que je sais, c'est que, en effet, ma femme est jeune, droite et de beau corsage, comme on dit chez nous ; qu'il n'y a ouvrage de main ni d'aiguille où elle ne s'entende mieux que personne ; qu'on ne trouverait dans tout le royaume ni un écuyer, ni un majordome qui sache mieux servir et de meilleure grâce qu'elle à la table d'un seigneur ; ajoutez à cela qu'elle sait très bien et très résolument monter à cheval, porter l'oiseau sur le poing à la chasse, et en même temps tenir ses comptes aussi bien réglés qu'un marchand. (Acte 2, scène 1, ULRIC)
  11. Voilà un merveilleux portrait. (Acte 2, scène 1, ROSEMBERG)
  12. Je baise vos mains, seigneurs, et je vous offre mes services, mes petits services pour l'amour de Dieu. (Acte 2, scène 1, POLACCO)
  13. Éloignez-vous, mon bon ami ; ni ce seigneur, ni moi, n'avons besoin de vos services. (Acte 2, scène 1, ULRIC)
  14. Que Dieu conserve la police ! (Acte 2, scène 1, POLACCO)
  15. C'est à merveille. (Acte 3, scène 1, ROSEMBERG)
  16. J'ai toujours servi près des femmes. (Acte 3, scène 1, KALÉKAIRI)
  17. La ruse et l'amour feraient merveille ensemble. (Acte 3, scène 2, ROSEMBERG)
  18. Oui, le meilleur de tous les stratagèmes, c'est de donner de l'argent à la servante ; je veux éblouir de même les autres domestiques... (Acte 3, scène 2, ROSEMBERG)
  19. Elle est jeune et belle, il est vrai, et elle a toutes les qualités qui peuvent faire le bonheur d'un époux, mais ce bonheur ne m'est pas réservé ; sa main appartient à un autre. (Acte 3, scène 5, ROSEMBERG)
  20. Je crois, en vérité, qu'elle serait capable de me surveiller aussi moi-même. (Acte 3, scène 8, BARBERINE)
  21. Seigneur, ces cris ne servent de rien. (Acte 3, scène 9, BARBERINE)
  22. Voilà qui est clair ; on m'éprouve peut-être, on observe ma contenance. (Acte 3, scène 9, ROSEMBERG)
  23. Tu servais d'espion, te voilà geôlière à présent ! (Acte 3, scène 10, ROSEMBERG)
  24. C'est à merveille ; j'étais en bonnes mains. (Acte 3, scène 10, ROSEMBERG)

ON NE SAURAIT PENSER À TOUT (1889)

  1. À merveille, Monsieur ; c'était un plaisir de l'entendre. (Acte 1, scène 1, GERMAIN)
  2. Autre cervelle fêlée ! (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  3. À merveille. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  4. Je vais surveiller Germain, de peur qu'il ne fasse quelque méprise. (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
  5. Dieu m'en préserve ! (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
  6. Il voulait, disait-il, surveiller Germain, mais je vais le faire surveiller lui-même. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  7. Il va à merveille comme cela. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  8. Victoire, dites qu'on laisse entrer aussi Monsieur_de_Clervaut. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  9. Si fait, si fait, c'est à merveille. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  10. Ce serait peut-être un moyen excellent de parvenir à une grande sagesse. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
  11. En Italie, madame, en Turquie, en Norvège, si vous voulez. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)

IL FAUT QU'UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERMÉE (1876)

  1. Pourvu que je le dise. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
  2. Si j'avais une fille, et si je voulais la préserver de ces entreprises qu'on appelle dangereuses, je me garderais bien de lui défendre d'écouter les pastorales de ses valseurs. (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)
  3. Me croyez-vous si dépourvu de sens ? (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
  4. À ma bague, il y a justement sur le chaton une petite couronne de marquise ; et comme cela peut servir de cachet... (Acte 1, scène 1, LA MARQUISE)

À QUOI RÊVENT LES JEUNES FILLES (1833)

  1. À merveille, Monsieur, et je suis confondu. v.569 (Acte 2, scène 4, SILVIO)
  2. De quoi pouvaient servir ces deux lettres pareilles ? v.633 (Acte 2, scène 6, NINON)

UN CAPRICE (1889)

  1. Je vous jure bien que c'est une corvée, et que je m'y traîne sans savoir pourquoi. (Acte 1, scène 2, CHAVIGNY)
  2. Quel cerveau fêlé que cette femme ! (Acte 1, scène 4, CHAVIGNY)
  3. Peut-être ; à quoi vous servirait-elle ? (Acte 1, scène 4, CHAVIGNY)
  4. Non, non, la main qui t'a faite ne te tuera pas ; je veux te conserver, je veux t'achever ; tu seras pour moi une relique, et je te porterai sur mon coeur ; tu m'y feras en même temps du bien et du mal ; tu me rappelleras mon amour pour lui, son oubli, ses caprices ; et qui sait ? (Acte 1, scène 5, MATHILDE)
  5. Voulez-vous que je vous serve, ma chère ? (Acte 1, scène 6, MATHILDE)
  6. On dit « Jaloux par amour-propre, » parce que c'est une phrase toute faite, comme on dit « Votre très humble serviteur. » (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
  7. Est-ce que vous croyez qu'une robe est un talisman qui en préserve ? (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
  8. J'aime cette posture, elle vous va à merveille ; mais je vous conseille de vous relever, afin de ne pas trop m'attendrir. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)
  9. Ne peut-elle souffrir un serviteur ? (Acte 1, scène 8, CHAVIGNY)
  10. Serviteurs ou maîtres, vous n'êtes que des tyrans. (Acte 1, scène 8, MADAME DE LÉRY)

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IL NE FAUT JURER DE RIEN (1853)

  1. Monsieur mon oncle, votre serviteur. (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
  2. De quoi servent mes remontrances, et quand prendrez-vous un état ? (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
  3. Cervelle fêlée ! (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
  4. Imagine-t-on qu'un homme de mon âge serve de jouet à un bambin ? (Acte 1, scène 1, VAN BUCK)
  5. Je ne vous ai pas cité Ménélas pour faire parade de ma science, mais pour ne pas nommer beaucoup d'honnêtes gens ; faut-il m'expliquer sans réserve ? (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
  6. Quelque bizarre que puisse vous sembler ce que je vais vous proposer, promettez-moi d'y souscrire sans réserve, et, de mon côté, j'engage ma parole. (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
  7. Si mon écervelé de neveu... (Acte 1, scène 2, VAN BUCK)
  8. Mon plan est fait, ma batterie pointée ; et, jusqu'ici, tout va à merveille. (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  9. Vous a-t-ou servi à déjeuner ? (Acte 2, scène 1, CÉCILE)
  10. Est-ce à dire que vous me prenez pour un libertin de votre espèce, et que vous vous servez de ma folle complaisance, comme d'un manteau pour vos méchans desseins ? (Acte 2, scène 1, VAN BUCK)
  11. Je vais lui dépêcher un billet en règle ; je lui dirai que je meurs d'amour pour elle, que je me suis cassé le bras pour la voir, que si elle me repousse, je me brûle la cervelle, et que si elle veut de moi, je l'enlève demain matin. (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  12. Si dans la soirée vous pouvez vous échapper, je vous attends ; sinon, je me brûle la cervelle. » (Acte 2, scène 2, LA BARONNE)
  13. « la cervelle. (Acte 2, scène 2, LA BARONNE)
  14. Comme à lui, on me ferme une porte surmontée de fières armoiries ; comme lui, une famille odieuse croit m'abattre par un affront ; comme lui, comme l'épervier, j'erre et je tournoie aux environs ; mais, comme lui, je saisirai ma proie, et comme Clarisse, la sublime bégueule, ma bien-aimée m'appartiendra. (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  15. Vous avez raison, mademoiselle, la clé s'y trouve effectivement ; maïs je ne puis m'en servir d'aucune façon, bien contrairement à mon vouloir. (Acte 3, scène 2, L'ABBÉ)
  16. C'est à merveille ! (Acte 3, scène 3, VAN BUCK)
  17. Je ne survivrai jamais à un pareil moment. (Acte 3, scène 3, LA BARONNE)
  18. Encore si j'avais eu le temps, je l'aurais peut-être retenue par son châle... ou du moins... enfin, par mes prières, par mes justes observations. (Acte 3, scène 3, L'ABBÉ)

LA COUPE ET LES LÈVRES (1867)

  1. Ô toi, le plus subtil et le plus merveilleux ! v.252 (Acte 2, scène 1, FRANK)
  2. Pourvu que l'âme parle, et que l'âme réponde ? v.355 (Acte 2, scène 3, FRANK)
  3. Quant à moi, je serai le chevalier servant. v.448 (Acte 2, scène 3, FRANK)
  4. Seigneur, préservez-moi de la tentation. v.679 (Acte 4, scène 1, LE CHOEUR)
  5. Qu'importe le moyen, pourvu qu'on s'en souvienne ? v.919 (Acte 4, scène 1, FRANK)
  6. Ce sont deux bras nerveux que j'agite dans l'air. v.937 (Acte 4, scène 1, FRANK)
  7. La seule passion qui survive à l'espoir ! v.946 (Acte 4, scène 1, FRANK)
  8. Deux de ses serviteurs, ses deux seuls confidents, v.1140 (Acte 5, scène 2, LES MONTAGNARDS)
  9. Ta Mamette, ton bien, ta femme et ta servante. v.1278 (Acte 5, scène 3, DÉIDAMIA)

ANDRÉ DEL SARTO (1851)

  1. Que de prières j'ai adressées au ciel pour la conservation d'une vie si chère !... (Acte 1, scène 4, ANDRÉ)
  2. Faut-il te servir de second ? (Acte 1, scène 13, ANDRÉ)
  3. Seul parmi tant de peintres illustres, je survis, jeune encore, au siècle de Raphaël, et je vois de jour en jour tout s'écrouler autour de moi. (Acte 2, scène 3, ANDRÉ)
  4. J'ai une faveur à te demander : grâce à Dieu, j'ai vu la foudre tomber sur mon édifice de vingt ans, sans en proférer une plainte et sans pousser un cri ; si le déshonneur était public, ou je t'aurais tué, ou nous irions nous battre demain ; pour prix du bonheur, le monde accorde la vengeance, et le droit de se servir de cela... (Acte 2, scène 3, ANDRÉ)
  5. Maintenant, Lionel tu vas me servir de témoin ; Cordiani prendra celui qu'il voudra ; car tu vois ce qui se passe, mon ami ? (Acte 2, scène 7, ANDRÉ)

LES NUITS (1852)

  1. Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes v.184 (Acte 1, scène 1, LA MUSE)
  2. Et tu laisses mourir cette pauvre verveine v.234 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
  3. Dans mon cerveau lassé berçait mon noir souci. v.446 (Acte 1, scène 3, LE POÈTE)
  4. Grand Dieu ! préservez-moi ! je l'aperçois, c'est elle ; v.477 (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
  5. Le coup dont tu te plains t'a préservé peut-être, v.553 (Acte 1, scène 3, LA MUSE)

LA NUIT VÉNITIENNE (1840)

  1. À merveille, et l'on danse très bien à Venise. (Acte 1, scène 2, LE SECRÉTAIRE)
  2. Mais comment parviendrai-je à lui parler sans être remarqué ? ? (Acte 1, scène 2, RAZETTA)
  3. Peu à peu, tout s'arrange ; l'amant ne doute plus du coeur de sa maîtresse ; la joie renaît, le bonheur par conséquent : la bénédiction apostolique et romaine doit trouver ici sa place ; car, sans cela, le presto survenant... (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)
  4. Il faut songer, chère princesse, que si votre gouvernante vous gênait, si votre tuteur vous contrariait, si vous étiez surveillée, tancée quelquefois, vous allez entrer demain (n'est-ce pas demain ?) dans une atmosphère de despotisme et de tyrannie ; vous allez respirer l'air délicieux de la plus aristocratique bonbonnière ; c'est de ma petite Cour que je parle, ou plutôt de la vôtre, car je suis le premier de vos sujets. (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)

LOUISON (1876)

  1. Servante ! que dis-tu ? Fi donc ! Tu ne l'es point. v.77 (Acte 1, scène 2, LE DUC)
  2. Servante ! Ce mot-là me choque au dernier point. v.78 (Acte 1, scène 2, LE DUC)
  3. « Vous me dites que vous m'aimez, mais cela est bien difficile à croire, car, pour aimer une personne, il faut, j'imagine, commencer par la connaître, et toute servante que je suis... » (Acte 1, scène 2, LE DUC)
  4. « Toute servante que je suis, vous me connaissez assurément bien peu si vous me croyez intéressée, et si vous avez pensé, Monseigneur, qu'on pouvait payer un amour qui refuse de se donner. » (Acte 1, scène 2, LE DUC)
  5. Observe monseigneur, et suis bien tous ses pas. v.258 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  6. À quoi bon tout cela, pour ne pas s'en servir ? v.314 (Acte 1, scène 5, LE DUC)
  7. Oui, pourvu qu'il t'écoute. v.472 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  8. Mon père s'en servait, et je l'ai toujours pris v.625 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  9. Est venue à Paris obéir et servir, v.666 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  10. Qu'importe un peu de mal, pourvu que dans un coin v.677 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  11. Il s'agit de me rendre un service. v.700 (Acte 2, scène 10, LA DUCHESSE)
  12. Eux qui passent leur vie à nous servir ainsi, v.753 (Acte 2, scène 13, LA DUCHESSE)
  13. Se voir apostropher au bal par sa servante ! v.884 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
  14. Faut-il que nous ayons la cervelle assez folle v.927 (Acte 2, scène 15, LE DUC)
  15. Monseigneur, à merveille ; v.980 (Acte 2, scène 16, BERTHAUD)

LES CAPRICES DE MARIANNE (1834)

  1. Es-tu mon fidèle serviteur ? (Acte 1, scène 1, CLAUDIO)
  2. J'ai un service à te demander. (Acte 1, scène 1, COELIO)
  3. J'aime ton amour, Coelio, il divague dans ta cervelle comme un flacon syracusain. (Acte 1, scène 1, OCTAVE)
  4. Laissez tomber vos regards sur le plus indigne de vos serviteurs. (Acte 1, scène 1, OCTAVE)
  5. Comment s'appelle ce lait merveilleux ? (Acte 2, scène 1, MARIANNE)
  6. Le monde entier m'a abandonné ; je tâche d'y voir double, afin de me servir à moi-même de compagnie. (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
  7. Dieu m'en préserve ! Vous moquez-vous de moi ? (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
  8. Vous ne boiriez pas le vin que boit le peuple ; vous aimez les femmes qu'il aime ; l'esprit généreux et poétique de ce flacon doré, ces sucs merveilleux que la lave du Vésuve a cuvés sous son ardent soleil, vous conduiront chancelant et sans force dans les bras d'une fille de joie ; vous rougiriez de boire un vin grossier ; votre gorge se soulèverait. (Acte 2, scène 1, MARIANNE)
  9. Pensez-vous que je sois un mannequin, et que je me promène sur la terre pour servir d'épouvantail aux oiseaux ? (Acte 2, scène 3, CLAUDIO)
  10. Laissez-le entrer, et jetez-vous sur lui dès qu'il sera parvenu à ce bosquet. (Acte 2, scène 5, CLAUDIO)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 19 textes (soit une présence dans 1,00 % des textes) dans lesquels il y a 246 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 12,95 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Total
1 LE CHANDELIER97110027
2 CARMOSINE21140017
3 BETTINE10000010
4 ON NE BADINE PAS AVEC L'AMOUR214007
5 L'?NE ET LE RUISSEAU12000012
6 LORENZACCIO610127237
7 FANTASIO10900019
8 BARBERINE68100024
9 ON NE SAURAIT PENSER ? TOUT11000011
10 IL FAUT QU'UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERM?E400004
11 UN CAPRICE10000010
12 IL NE FAUT JURER DE RIEN7650018
13 ANDR? DEL SARTO230005
14 LES NUITS500005
15 LA NUIT V?NITIENNE400004
16 LOUISON200002
17 LOUISON4900013
18 LES CAPRICES DE MARIANNE4600010
19 À QUOI RÊVENT LES JEUNES FILLES020002
20 LA COUPE ET LES LÈVRES030429
  Total1107546114246

 

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